De la difficulté géopolitique d’aimer son prochain comme soi-même
Billet du lundi 29 novembre par Alexis Feertchak, membre fondateur de Geopragma. Je me souviens d’une réflexion que m’avait faite mi-août un philosophe à propos de la prise de Kaboul par les Talibans et du retrait des troupes américaines : «Mais c’est abominable, on ne peut pas ne rien faire !» Elle venait droit du […]